Bien que la tendance soit à la correction voire à l’effondrement des prix dans certaines régions du monde, l’envolée du prix de la pierre (c’est-à-dire le logement ancien) dès le dernier quart du XXe siècle continue de peser sur le taux de concrétisation des projets d’investissement immobilier des ménages. Catalysée par des facteurs exogènes dont la croissance démographique, l’expansion urbaine et la bulle immobilière sont les figures de proue, la multiplication des habitations de petite surface a favorisé l’émergence d’une approche fonctionnelle et pragmatique de l’aménagement des intérieurs. Objectif ? Optimiser ses espaces intérieurs pour gagner quelques précieux mètres carrés.
Articles
La crise que connaît le secteur immobilier en France n’a en rien impacté l’engouement des Français pour les travaux d’aménagement. Durant les trois dernières années, un Français sur trois a réalisé des travaux d’intérieur pour améliorer ou réhabiliter sa maison, selon une étude de l’Union Nationale des Industries Françaises de l’Ameublement (UNIFA). Réalisée auprès de 2000 Français, cette étude révèle par ailleurs que l’investissement dans l’intérieur procure aux propriétaires un sentiment de sécurité. Cette tendance serait en partie imputable à certaines émissions de télévision et aux magazines dédiés à la décoration d’intérieur. De plus, quand la capacité d’achat d’un habitat plus grand n’est pas possible, et bien on cherche à faire plus grand chez soi !
La population californienne est de plus en plus ouverte à l’idée de boire une eau issue de la filtration et la purification des eaux usées. Le facteur beurk ou « yuck factor » en anglais, est donc en passe d’être brisé dans cet Etat de la côte Ouest des Etats-Unis. Et pour cause : une sécheresse historique y persiste depuis 2012, la pire depuis 1200 ans.
Le climatiseur qui rend l’âme un mois après l’expiration de sa garantie, la machine à laver qui tousse des années avant la fin de sa durée de vie, l’ampoule suspicieuse qui cesse d’éclairer sans raison apparente… Volontaire, planifiée et parfois systématique, l’obsolescence programmée ronge depuis quelques années le marché des appareils électroniques et électroménagers, au grand dam des consommateurs. Si elle reste difficilement décelable à l’achat, la mort programmée de nos appareils n’est pas une fatalité.
La faiblesse de la superficie des logements français (63 m² en moyenne pour les appartements*) et les évolutions socio-culturelles qui rythment la vie des foyers (famille qui s’agrandit, mutation professionnelle, urbanisation croissante, hausse du prix de l’immobilier dans les grandes villes) sont autant de raisons d’envisager le réaménagement de nos espaces de vie, et tout particulièrement de certaines pièces telles que la chambre à coucher ou la salle de bain. Grâce à quelques astuces et à des rangements intelligents, il est possible de gagner de la place, d’optimiser son espace de vie et de bénéficier de davantage de confort. En jouant la carte du rangement ingénieux et en prenant en compte quelques conseils judicieux, repenser son intérieur n’a jamais été aussi facile.
Retrouvez Twido dans le reportage sur Idéobain, le 3 et 4 novembre dernier, diffusé sur le site ArchiExpo.
Le marché de l’électroménager intelligent sort peu à peu de son cloisonnement et multiplie les lancements de gammes connectées à destination du grand public. Economies d’énergie, sécurité, confort, aide à la personne : les consommateurs sont très demandeurs. Selon le cabinet GFK, quelque deux milliards d’objets connectés seront vendus en France d’ici 2020, soit le double du volume actuel. Dans quelle mesure la domotique intervient-elle comme un levier de confort au quotidien ?
La prise de conscience de l’importance de l’écologie en tant que levier de développement pour l’avenir permet aujourd’hui la mise en place d’un écosystème qui favorise l’accès à la propriété durable. Le défi ? Asseoir les réflexions issues de la COP21 dans une approche plus terre à terre et les mettre en œuvre au quotidien dans nos logements.
Pour accompagner l’élan général de prise de conscience de l’enjeu environnemental porté par les discussions autour de la COP21, BFM Business a récompensé les entreprises éco-friendly au terme de neuf semaines de compétition dans le cadre des Grands Prix Business Durable 2015. Soumises à l’évaluation d’un jury d’éminents professionnels, mais aussi d’internautes, neuf entreprises œuvrant pour une croissance durable étaient en compétition dans trois catégories différentes. Tour d’horizon des lauréats des Grands Prix Business Durable 2015.
Faisant suite aux conclusions de la COP 21, il est intéressant de se pencher sur l’un des principaux enjeux touchant l’habitat moderne : son impact environnemental. Cette problématique doit aujourd’hui s’intégrer non seulement dans l’architecture initiale mais aussi dans l’approche du design de nos logements. Habiter une maison respectueuse de l’environnement permet de s’inscrire véritablement dans la dynamique du développement durable en favorisant l’utilisation des énergies renouvelables pour satisfaire les besoins en climatisation, chauffage et eau tout en contrôlant sa production de déchets. Après les transports électriques, la maison durable.